Accueil Au Trophée des vins du Jura, parité de mise chez les sommeliers

Au Trophée des vins du Jura, parité de mise chez les sommeliers

Maxime Petit et Margaux Carlier ont inscrit leur nom au palmarès de ce concours soutenu par le comité interprofessionnel des vins du Jura (photo : Jean Bernard)

Auteur

Jean
Bernard

Date

05.02.2019

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Ce concours de sommellerie lancé en 2000 connaît toujours plus de succès à chaque édition. Victoire cette année pour Maxime Petit chez les étudiants et Margaux Carlier chez les professionnels.

Comme en 2018, la parité était de mise au moment de l’annonce des résultats du Trophée des vins du Jura disputé ce lundi 4 février en conclusion des manifestations qui accompagnaient la Percée du vin jaune, à Poligny. Malgré quelques forfaits de dernière minute, cette épreuve réunissait quinze candidats dans la catégorie ouverte aux étudiants en formation au métier de sommelier et autant chez les professionnels. Un succès de participation qui récompense le travail effectué par Philippe Troussard, président des sommeliers de Jura-Franche-Comté et tous les membres de son association.

Les épreuves écrites aux contenus adaptés aux niveaux différents des candidats ont permis de sélectionner trois finalistes par catégorie. Chez les plus jeunes, trois étudiants tous venus d’Alsace se sont disputé le titre. Yoann Roess et Maxime Petit sont élèves du lycée Alexandre-Dumas à Illkirch-Graffenstaden alors que Léo Deyber est élève du lycée Joseph-Storck à Guebwiller. Du côté des professionnels, Margaux Carlier (Les Caudalies à Arbois) était accompagnée par Hugo Signori (Le France à Villers-le-lac) et Steve Carlier (Hôtel Ritz à Paris).

À l’issue de la finale du matin, la victoire est revenue à Maxime Petit qui succède ainsi à Emma Bastide, alors que Margaux Carlier s’est imposée dans la catégorie remportée un an plus tôt par Alexis Attal.
« Depuis son origine, notre concours revêt un double objectif : mettre en valeur le métier de sommelier et promouvoir les exceptionnels vins du Jura », a conclu Philippe Troussard, qui étudie la possibilité de faire de ce Trophée une manifestation biennale.