Nouvelle opération séduction des champagnes Joseph Perrier

Avec son nouveau flaconnage au long col de cygne et ses cuvées moins dosées, Joseph Perrier signe une nouvelle dynamique, à destination notamment des cavistes et sommeliers. Une identité sur l’élégance et la personnalité, comme les bulles de cette maison basée à Châlons-en-Champagne.

Un accueil royal : celui réservé par le champagne Joseph Perrier et son président Jean-Claude Fourmon (5ème génération familiale) aux cavistes de France, venus s’affronter en demi-finale de leur concours. C’était le 12 septembre dernier à Châlons-en-Champagne, ville marnaise qui abrite cette maison créée en 1825. L’occasion de parler flacons royaux, honorés en leur temps par la reine Victoria et le roi Edouard VII, aujourd’hui en version brut, demi-sec, blanc de blancs et brut rosé.

A Paris comme en province, ces cuvées interpellent les professionnels, cavistes et sommeliers en tête. Car la rentrée rime avec nouveautés. Tout d’abord une bouteille unique, création Joseph Perrier. 5 années de travail, un investissement conséquent (tant d’aspects techniques et pratiques à revoir complétement, notamment en cave) et au final un flacon exclusif. « Col de cygne pour l’élégance, épaule généreuse légèrement ronde et délicate pour l’expression du vin. Un galbe charmeur et envoûtant», résume Jean-Claude Fourmon, « et nous concrétisons ainsi notre positionnement marketing et commercial qui monte en gamme ».

Millésimes de gastronomie

Autre nouveauté, la naissance de cuvées moins dosées. Comme le blanc de noirs 2008 brut nature, un savoureux pinot noir de Cumières, mûr et puissant. Ou l’Esprit de Victoria blanc de blancs 2010 extra brut (fins chardonnays de Chouilly, Le Mesnil-sur-Oger et Bassuet). Deux champagnes taillés pour la gastronomie (viande blanche, poisson en sauce, crustacés…) C’est aussi la rentrée pour la grande Joséphine, dans un millésime 2008 tonique, plein, crémeux et sensuel (54% chardonnay, 46% pinot noir, raisins de premiers et grands crus). Une star sur la complexité et la délicatesse.

Chez Joseph Perrier, le dosage se réduit d’ailleurs dans l’ensemble des cuvées royales, qui confirment leur positionnement dans la famille des bulles fraîches, équilibrées, sur la gourmandise, la finesse, le fruit frais ou mûr (panier de framboises dans l’Esprit de Victoria, rosé 2005, remarquable !) Autre atout de la gamme : la finale qui booste toujours les papilles, sur le zeste d’agrumes, le citron confit ou la mandarine. Le plaisir dure et la visite sur place (venez donc !) réserve encore une surprise de taille : 3 km de caves gallo-romaines de plain-pied. C’est unique et c’est à Châlons-en-Champagne.

Les champagnes Joseph Perrier sont vendus entre 30 et 150 €, prix cavistes.

CI-DESSOUS : Voici le nouveau flaconnage exclusif Joseph Perrier. A terme, l’élégant col de cygne ornera toutes les cuvées, millésimes et Joséphine y compris.