18.07.2024
Nicolas Thienpont quitte le château Larcis Ducasse
Samedi 27 Juillet 2024
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22.03.2010
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Jeudi soir, au château du Taillan, en Médoc, les étudiants en master de l’école de communication visuelle (ECV) d’Aquitaine ont présenté une douzaine de projets inspirés des travaux de WIT France (wine in tube).Le projet s’inscrivait dans le cadre scolaire, mais l’investissement était à la hauteur de professionnels. Leur cible, c’est eux ! Les jeunes. Un public demandeurs et de plus en plus sensible au vin et à cette nouvelle manière de le consommer, innovante et branchée. « On s’est penché sur l’idée du caprice », « Pour nous, c’est un instant précis », « On a voulu jouer sur la transparence du vin »…Des idées, encore des idées ! De quoi donner du fil à retordre au jury, composé des quatre médocaines ! Ces viticultrices bordelaises en sont les véritables pionnières. L’an dernier, elles ont fait sensation en présentant leur vin dans ces tubes à essais, lors des salons de prêt-à-porter de Paris et Tokyo. « Travailler sur une innovation nous a laissé une grande liberté » commente Laure, une élève.
« C’est encore une niche » analyse Armelle Falcy-Cruse, propriétaire du château du Taillan. Un constat qui semble sur le point de changer si l’on en croit Charly Pairaud, responsable sud-ouest de la communication du WIT. Un tube dans la poche de sa veste, il ne s’attendait pas à un tel succès « à l’origine, c’était destiné à envoyer plus facilement du vin par la poste ! » Aujourd’hui, il est sollicité en France et à l’étranger, par les secteurs de l’hôtellerie, la restauration, l’événementiel ou encore la mode. « On arrive à vendre du vin là où il n’y en avait pas ! » se félicite-t-il. Des discussions sont engagées depuis peu avec la grande distribution.
Dans un monde viticole parfois réticent, imposer du vin en tube est une petite révolution : « On a cassé les codes de la bouteille ». Pour cela, il a fallu faire tomber certaines inquiétudes : « De la même manière qu’une étiquette, l’identité du château est déclinée sur le tube » explique Charly Pairaud. Nombreux sont ceux qui se sont laissés convaincre. 35 vins ont pris le pli, des vins modestes mais aussi de grands crus classés.
Fort de ce succès et face aux perspectives qui s’offrent au WIT, un site de vente en ligne est en cours d’élaboration. Il devrait voir le jour en avril.
« C’est encore une niche » analyse Armelle Falcy-Cruse, propriétaire du château du Taillan. Un constat qui semble sur le point de changer si l’on en croit Charly Pairaud, responsable sud-ouest de la communication du WIT. Un tube dans la poche de sa veste, il ne s’attendait pas à un tel succès « à l’origine, c’était destiné à envoyer plus facilement du vin par la poste ! » Aujourd’hui, il est sollicité en France et à l’étranger, par les secteurs de l’hôtellerie, la restauration, l’événementiel ou encore la mode. « On arrive à vendre du vin là où il n’y en avait pas ! » se félicite-t-il. Des discussions sont engagées depuis peu avec la grande distribution.
Dans un monde viticole parfois réticent, imposer du vin en tube est une petite révolution : « On a cassé les codes de la bouteille ». Pour cela, il a fallu faire tomber certaines inquiétudes : « De la même manière qu’une étiquette, l’identité du château est déclinée sur le tube » explique Charly Pairaud. Nombreux sont ceux qui se sont laissés convaincre. 35 vins ont pris le pli, des vins modestes mais aussi de grands crus classés.
Fort de ce succès et face aux perspectives qui s’offrent au WIT, un site de vente en ligne est en cours d’élaboration. Il devrait voir le jour en avril.
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