23.04.2024
Un trésor romain enfoui à l’origine d’un projet oenotouristique
Jeudi 25 Avril 2024
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06.01.2010
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Deux en un. Vous connaissiez Labégorce Margaux et Labégorce Zédé, en appellation Margaux (Gironde). La décision est officielle depuis aujourd’hui. Dès le millésime 2009, vous n’en consommerez plus qu’un : Labégorce.Que la disparition de Labégorce Zédé soit le fruit d’une volonté filiale ou sentimentale, ou encore celui d’un objectif qualitatif et commercial, toujours est-il que « Zédé » fera désormais partie intégrante du millésime 2009 du Château Labégorce, aujourd’hui vaste de 66 hectares.
Cette fusion répond à la volonté de l’industriel Hubert Perrodo, qui fit l’acquisition de Labégorce en 1989, puis de Labergorce Zédé en 2005 et d’un troisième domaine, le château l’Abbé Gorce de Gorce.
Ces trois vignobles faisaient partie intégrante d’un même ensemble avant 1795, date à laquelle ce domaine, connu sous l’appellation « Maison noble de la Bégorce » depuis le XIV ème siècle, fut divisé et vendu à différentes familles. Seul Labégorce resta la propriété de la famille Gorce. Il fallut attendre 250 ans après cette séparation pour que ce « fief », producteur historique de grands crus bourgeois, retourne à ses origines.
Une nouvelle renaissance?
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Cette fusion répond à la volonté de l’industriel Hubert Perrodo, qui fit l’acquisition de Labégorce en 1989, puis de Labergorce Zédé en 2005 et d’un troisième domaine, le château l’Abbé Gorce de Gorce.
Ces trois vignobles faisaient partie intégrante d’un même ensemble avant 1795, date à laquelle ce domaine, connu sous l’appellation « Maison noble de la Bégorce » depuis le XIV ème siècle, fut divisé et vendu à différentes familles. Seul Labégorce resta la propriété de la famille Gorce. Il fallut attendre 250 ans après cette séparation pour que ce « fief », producteur historique de grands crus bourgeois, retourne à ses origines.
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